Empowering Teenagers and Building Dreams: A Conversation with Laura Hearfield
World of Women had the privilege of sitting down with Laura Hearfield, the CEO of the Wellspring Teen Center in Vientiane, Laos. The center is a beacon of hope for teenagers, offering support, education, and opportunities to help them thrive. In this interview, Laura shares her inspiring journey, the impact of her work, and the transformative power of empowering young minds.
Dalayphone Sayasithsena: SAYA: Empowering Laos Women and Preserving Culture Through Sustainable Fashion
In November 2018, the SAYA brand was born in Laos with a mission to create valuable products made from Laos cotton by women from different communities. Founded by Dalayphone Sayasithsena, SAYA is a social enterprise that aims to empower local women by providing them with sustainable income opportunities. This article delves into the inspiring journey of SAYA and how it has become a voice for communities across Laos while promoting their rich culture through unique patterns and colors in their products.
Les potières de Sejnane, un savoir-faire de mère en filles
A la découverte d’un savoir-faire ancestral, transmis de mères en filles… Sur les hauteurs du massif de Mogod au nord de la Tunisie, le village de Sejnane se situe dans un cadre verdoyant où les cigognes surplombent le village. C’est ici que nous avons rencontré les potières de Sejnane. Inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’humanité depuis 2018, cette technique ancestrale est transmise de mères en filles dans le cadre d’un enseignement traditionnel et informel au sein des communautés.
Nicole Bamukunde, le futur de l’hôtellerie rwandaise
Ouvrir une école prestigieuse d’hôtellerie au Rwanda ? C’est le défi qu’a accompli Nicole Bamukunde en lançant la toute première école Vatel en Afrique. Et ses projets pour l’école ne cessent de grandir avec notamment le lancement d’un incubateur pour les entrepreneurs du secteur du tourisme et la création d’un restaurant gastronomique à Kigali où ses étudiants pourront exercer. En plus d’être à la tête de l’école, Nicole est aussi la fondatrice de 4 Blooms Chapati, un camion-restaurant proposant des menus sains pour les travailleurs pressés de Kigali. Son ambition : produire ses propres légumes et fruits et ouvrir davantage de food trucks à travers le Rwanda pour proposer des franchises à de jeunes rwandais désireux de lancer leur business.
Khadija Boujanoui, ou la volonté comme fer de lance
Khadija Boujanoui est la directrice financière et du contrôle de gestion du groupe 2M (deuxième chaîne télévisée au Maroc). En plus de ce rôle, elle endosse celui de présidente du comité Parité et Diversité du groupe. Elle est également vice-présidente de la commission TPE-PME, GE-PME et auto-entrepreneur de la confédération générale des entreprises du Maroc. Bref, une panoplie de casquettes qui font de Khadija Boujanoui une femme qui nous impressionne.
Mounira Bouzid El Alami, un souffle nouveau pour les enfants de Tanger
Vous connaissez peut-être Mounira Bouzid El Alami. Cette grande dame a donné un nouveau souffle aux enfants de la ville de Tanger, avec le développement du Centre culturel d’initiatives citoyennes, association désormais appelée Darna, connue de tous les marocains.
Khadooj Boutaarit, la femme qui vaut 100 hommes
Perchée dans les montagnes de l’Atlas, Khadooj Boutaarit n’a peur de rien et surtout pas des hommes. Ces derniers l’appelle même “Si Khadooj” (Monsieur Khadooj). Elle a fondé sa propre coopérative de production de cerise et elle n’y emploie que des femmes. Son but : leur rendre leur indépendance vis-à-vis de leur mari.
Leïla Benhima Cherif, l’engagement dans la peau
Aujourd’hui nous rencontrons Leïla Benhima Cherif, un ponte s’il en est un du monde associatif marocain. Présidente de l’Heure Joyeuse, association majeure luttant contre les nouvelles formes de misère : elle se livre à vous.
Aïcha Ech-Chenna, celle qu’on ne fait pas taire
Au Maroc, on ne présente plus la grande Aïcha Ech-Chenna. Véritable ambassadrice de la cause féministe au Maroc, on la surnomme Mère Courage ou Mère Teresa du Maroc. Depuis maintenant plus de 40 ans, elle lutte pour imposer le respect aux mères célibataires et pour la reconnaissance des enfants nés hors mariage, un sujet qui demeure aujourd’hui encore tabou au Maroc.
Mouna Mnouar, ou la confidente de l’ombre
Rencontre avec Mouna Mnouar dans la banlieue de Fès, dans les locaux de l’ASDS, association qu’elle a fondée et qui vise à autonomiser les jeunes femmes marocaines. Mouna est aussi l’une des premières femmes à avoir fait valoir son droit à l’héritage de la terre.
Sana Afouaiz, donner la parole à celles qui sont baillonnées
À 25 ans à peine, Sana Afouaiz a fondé Womenpreneur un réseau de 10 000 femmes entrepreneures dans 20 pays. Elle a écrit un livre sur les femmes au Moyen-Orient (Invisible Women in the Middle East) et elle est également la co-fondatrice du mouvement mondial Womenquake qui questionne et critique les notions de genre. Elle est enfin conseillère aux Nations Unies sur les problématiques de genre. Du haut de son jeune âge, Sana a tout d’une grande.
Adelle Onyango, la radio queen kenyane
Adelle Onyango est une présentatrice radio incontournable au Kenya. Après neuf ans et demi à animer les plus grosses émissions de Kiss FM (radio kenyane la plus écoutée), Adelle se lance désormais dans le podcasting. Grâce à sa notoriété, Adelle libéralise la parole autour du viol au Kenya et émancipe la femme au travers du storytelling. Elle bouscule les formes d’expression en prônant des espaces de parole plus libertaires et indépendants, libres de toute censure.
Géraldine Robert, une joueuse de basket pas comme les autres
Le mystère Géraldine Robert… Son parcours est plutôt atypique : de la danse classique au volleyball en passant par l’athlétisme, Géraldine s’est retrouvée basketteuse professionnelle un peu par hasard. Élue meilleure joueuse de basket de la ligue féminine française en 2013, elle ne sera pourtant jamais sélectionnée en équipe de France. À 39 ans, Géraldine annonce sa retraite mais n’en finit pas d’oeuvrer pour le basket puisqu’elle s’est fixée le défi de former la nouvelle génération de basketteurs gabonais grâce à son association Yemaly. À quand la prochaine Géraldine Robert ?
Marie Wilma Sickout Assele, l’art comme raison de vivre
Marie Wilma Sickout Assele est à la tête de la galerie Kay-Anne à Libreville. « De nationalité africaine, d’origine gabonaise », Marie Wilma promeut la diversité de l’art africain et donne un nouveau visage à la scène culturelle gabonaise. Après sept longues années de dépression, Marie Wilma a changé sa façon d’appréhender la vie, elle ambitionne désormais de faire évoluer les mentalités au sujet de la dépression en Afrique et de transmettre sa passion pour l’art en ouvrant une école.
Yonnelle Dea Moukoumbi, pour un riz made in Gabon
“Quand j’explique que je suis sélectionneuse, les jeunes me répondent : ‘ah vous choisissez les joueurs de foot !’ ». Yonnelle Dea Moukoumbi est sélectionneuse riz, et l’une des meilleures spécialistes du continent sur le sujet : elle est en train de créer une semence de riz qui soit adaptée à la culture gabonaise. C’est un enjeu de taille pour un pays qui importe des milliers de tonnes de riz alors qu’elles pourraient être produites localement. Yonnelle, lauréate de la bourse L’Oréal UNESCO pour les femmes et la science, nous explique son métier si particulier et dissémine ses conseils.
Jessica Allogo, d’ingénieure pétrolière à productrice de confiture
Alors qu’elle était cadre ingénieure sur les plateformes pétrolières de Total, Jessica Allogo s’est lancée dans la production de confitures. Depuis, elle est l’une des entrepreneures les plus en vue au Gabon en bousculant la vision que l’on a du Made in Gabon ! Un parcours fait de hasard, d’esprit aventureux, de débrouillardise et de passion que Jessica nous livre sans filtre.
Nadine Otsobogo, le cinéma dans tous ses états
Nadine Otsobogo refuse les étiquettes et accumule les rôles. D’abord celui de maquilleuse, son premier métier : c’est une des figures du maquillage des peaux noires dans le monde de la mode et du cinéma. Puis celui de réalisatrice, avec des courts-métrages remarqués et récompensés plusieurs fois : l’Académie des Césars a retenu Dialemi parmi les 32 meilleurs courts métrages de 2013. Productrice aussi, avec sa propre boîte de production Djobusy. Mais le projet dont elle est le plus fière, c’est le Festival de Masuku, qu’elle a fondé en 2013 et qui accueille chaque année des réalisateurs du monde entier autour des thèmes de la nature et de l’environnement. Cette âme libre refuse de se laisser enfermer dans aucun de ces rôles et continue avec énergie de se frayer un chemin dans ce milieu difficile qu’est le cinéma.
Sewit Haile Selassie Tadesse, la curiosité comme boussole
Rendez-vous avec Sewit Haile Selassie Tadesse, présidente pour l’année 2019 du réseau AWiB (Association for Women in Boldness), pour discuter parcours et réseau. En effet, l’Ethiopie, comme beaucoup de pays en Afrique, regorge d’associations et réseaux visant à tisser des liens entre les femmes du pays et combler le vide laissé par le manque d’accès au réseautage informel des restaurants et bars fréquentés par les hommes. Le réseau AWiB se décrit donc comme une plateforme locale pour développer des femmes leaders responsables.
Samrawit Moges, l’experte du tourisme
Samrawit Moges est l’une des femmes entrepreneures pionnières en Ethiopie. Elle est la fondatrice de Travel Ethiopia, l’un des tours opérateur les plus importants en Ethiopie et aussi le premier à recruter des femmes guides. Son engagement social ne s’arrête pas à son entreprise : Samrawit est aussi la première présidente du Rotary Club d’Addis Ababa.
Culture, on défriche : au Rwanda, l’art pour guérir le pays
L’art au Rwanda joue un rôle décisif dans la reconstruction du pays : il fait le lien entre passé et futur, et accomplit le devoir de mémoire indispensable à l’édification d’un futur plus sain. L’art devient alors une réponse à la question qui taraude tous les esprits suite au génocide : qu’est-ce qu’on fait après ? On témoigne. Ce travail de mémoire, il ne peut être individuel ou personnel : les œuvres collectives se multiplient, et amorcent des gestes cathartiques pour permettre au pays de faire son deuil. Décryptage de la scène artistique rwandaise, qui a transformé Kigali en laboratoire créatif et permet de réconcilier le pays.